ϟ DEVAN JUSTYN HARRIS ϟ Feat Gaspard Ulliel I. Vous ● PRÉNOM : Isabelle ● ÂGE : 20 ans ● ANCIENNETÉ DANS LE RP : 6 ans ● COMMENT AVEZ VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? : j'y suis admin depuis la première version (aa) ● QUE PENSEZ VOUS DU FORUM: il torche des culs II. Formalités ● AVATAR : Gaspard Ulliel ● CODE : ● PROFIL : complété par un admin, so par moi.

ϟ DEVAN JUSTYN HARRIS ϟ
« Parfois j'sens que ma vie se sauve entre mes doigts, qu'elle glisse par terre dans une merde de chien et me dit: FAIL. »

✩ THIS IS REAL ✩

NOM, PRÉNOMS : Devan Justyn HarrisSURNOMS : Dev', Devy, Juju... DATE ET LIEU DE NAISSANCE : 23 mai, Bournemouth STATUT DE SANG : sang-mêlé ÂGE : 18 ans GROUPE : Ste-Mangouste STATUT : Célibataire ORIENTATION SEXUELLE : Bisexuel ANCIENNE MAISON: serpentard TRAVAIL : Apprenti médicomage.

✩ LES DÉTAILS MAGIQUES ✩

✩ THERE'S ALWAYS THE PAST ✩

Spoiler:

✩ I'VE LOVED YOU SO MUCH ✩

J'en avais assez de me battre avec elle. De la regarder devenir une espèce de blette impersonnelle et totalement froide avec tout le monde. Je savais que j'avais été un des seuls à être en mesure de la faire sortir de sa coquille. Notre histoire ne remontait pas à récemment, non tout ça avait débuté il y a sept ans auparavant alors qu'elle entrait en première année. J'étais toujours aussi associable, mais les seuls avec qui je pouvais tenir était mes deux copains de serpentards. Lorsqu'on l'avait vu, on s'était tout de suite dit qu'elle ferait la paire avec nous. Elle n'était pas comme toutes les autres femmes, elle avait ce côté vipère qui manquait aux autres. Avec le temps, nous formions un quatuor du tonnerre, puis rapidement lors de l'été de ma sixième année, notre relation a évolué en un seul boum. Nous savions que ce que nous faisions n'était pas très intelligent, d'autant plus que j'étais certain que Kenzo m'aurait tué. Sauf que nous nous aimions, et c'était tout ce qui comptait alors on a décidé de vivre notre amour secret, caché à l'abri des autres pour notre bien. Sauf que ce bien s'est rapidement transformé en cauchemar, à un point tel que nous n'étions même plus capable de s'amuser ensemble. Rapidement, elle en est venue à une seule solution, de me laisser, alors que j'aurais préféré cent fois mieux avoir une dispute avec mon meilleur ami... Sauf qu'il fallait croire que je n'étais pas assez bien pour elle, qu'elle ne m'aimait pas comme je l'aurais crût.

Une année c'était faufilée plus vite que l'éclair et les deux mecs ne pouvaient pas comprendre pourquoi une guerre avait été déclarée entre nous. Les coups bas n'avaient cessés de fuser, jusqu'à cet affrontement présent. Le positif avec une popularité comme la mienne c'était que pouvais largement en profiter. Nous ne cessions de nous battre quand l'un de nous deux en a eut assez. J'en avais assez d'être seul avec mon passé et mon caractère qui m'empêchait de retourner avec l'être que j'aimais alors je lui avais raconté mon secret, la mort de ma frère causée par nulle autre que moi. Et c'est à ce moment là que je me suis rappelé pourquoi elle me manquait autant, lorsqu'elle me déblatéra des mots aussi doux que son caractère lorsqu'elle se trouvait à mes côtés. Ses mots brossaient mon coeur en même temps que mes sentiments qui semblaient être réveillés d'outre-tombe. Nous étions tous deux bien trop entêté dans notre idée d'être toujours froid et méchant, de vrais serpentard quoi. Tellement que nous avions enfin découvert qu'il n'était plus possible de s'en vouloir à présent. À partir de ce jour, j'ai décidé de ne plus jamais la laisser tomber. Car elle ne méritait pas que je lui fasse encore mal, et que je savais que j'étais en amour par dessus la tête. Ce n'était pas pour rien que j'avais tout fait pour suivre ce stage à Poudlard, pour rester plus près des gens que j'aime...

✩ LOVE THE WAY YOU ARE ✩

Doucement, les pas de l’apprenti médicomage se faisaient entendre dans les couloirs du cinquième étage de Sainte-Mangouste. Ses habits blancs lui donnaient une certaine aura de respect dans cet endroit et c’était l’une des choses qu’il appréciait le plus. Il savait qu’il était utilisé ici, il pouvait enfin se dire que sa passion pour les potions lui servait enfin à quelque chose. Il fallait avouer que le brun avait déjà une belle réputation devant lui et cela faisait tout juste trois mois qu’il avait débuté ses études. Il apprenait plus vite que la plupart des apprentis et il avait déjà quelques patients à sa charge. Ses stages à Poudlard lui permettaient de voir autre chose, tout en restant près des gens qu’il aime. Il se plaisait énormément à aider les sorciers, c’était une passion qui lui redonnait encore plus de confiance en lui qu’il n’avait jamais eut. Il en était à la fin de sa journée, ne lui restant qu’un patient à aller voir. Il était son préféré, Velkan qui avait un an de moins que lui. Ce pauvre homme avait une maladie complètement indéchiffrable pour tous les médicomages de Sainte-Mangouste. La seule chose qu’ils pouvaient faire c’était de le garder en constante surveillance et de lui donner des potions pour apaiser sa douleur. Devan compatissait à sa douleur, mais surtout à sa solitude

Après tout, le pauvre avait vécu toute sa vie hors de l’école de Magie, alors il n’avait jamais connu ce que c’était. Il n’avait d’ailleurs pas d’amis, ou du moins c’est ce que Devan avait compris lorsqu’il s’était aperçu que la seule personne qui venait le visiter était sa mère. Ça l’attristait, car il avait eu la chance d’apprendre à le connaître et il savait à quel point il était une personne ne or. D’ailleurs, ce dont il ne se doutait pas c’était qu’il commençait à éprouver des sentiments pour lui, beaucoup plus fort qu’un guérisseur à son malade. Tout le monde savait qu’il ne fallait pas s’attacher à ceux que l’on soignait, car on se faisait trop facilement briser le cœur. Nous voudrions tout faire pour sauver cette personne ce qui ne serait pas bénéfique pour tout le monde. Devan fini par arrivé à la chambre de Velkan, d’où il toqua deux petits coups avant d’entrer dans sa chambre. Le malade se retourna vers la porte et lorsqu’il reconnut le médicomage, un grand sourire illumina ses traits. L’ancien serpentard fit de même, il savait que son sourire était bénéfique pour tous les deux. Il essayait de faire tout en son pouvoir pour découvrir ce qu’il avait, mais il avait peu de chances et ils le savaient tous les deux. « Alors, comment se sent-on aujourd’hui? » Il regardait attentivement les fiches du patient, fronçant les sourcils à chaque fois qu’il voyait les mots « inconnus ». Ils n’étaient pas des moldus merde, pourquoi n’arrivaient-ils pas à le guérir?! Ils n’étaient pas n’importe qui, mais lorsque Devan regardait Velkan droit dans les yeux il savait que les sorciers avaient tous un point faible. « Je vais bien, mieux qu’hier matin en tout cas! Devan avait entendu dire qu’il avait fait une crise hier matin alors qu’il était à Poudlard. Il avait cru le perdre. Il avoir cru ne plus jamais revoir son visage et il s’était dit qu’il ne le laisserait jamais mourir.

FICHE TERMINÉE LES COCOS! =D