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Ramón fait des claquettesVoir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas
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Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeLun 27 Déc 2010 - 20:27

    Ramón fait des claquettes 2956484059_1_3_aoMwbfArRamón Salvador Ibañes
    Feat Mark Salling

    I. Vous

    PRÉNOM : Célyne
    ÂGE : 18 ans
    ANCIENNETÉ DANS LE RP : Pim Pam Poum, va voir la fée carabosse qu‘elle réponde à ma place
    COMMENT AVEZ VOUS DÉCOUVERT LE FORUM ? :Question piège?
    QUE PENSEZ VOUS DU FORUM: Il est vraiment merdique^^


    II. Formalités


    AVATAR : Mark Salling
    CODE :
    PROFIL : complété par un admin

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Dernière édition par Ramón S.Ibañes le Sam 29 Jan 2011 - 19:56, édité 4 fois
Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeLun 27 Déc 2010 - 20:27

Ramón fait des claquettes 2956496213_1_3_ICdoXrDx
ϟRamón Salvador Ibañesϟ
« Dieu a tout créé. Dieu a créé le racisme. Mais Dieu a aussi créé l'antiracisme. Avec tout le respect que je lui dois, Dieu est un sacré fouteur de merde. »
Philipe Geluck


      ✩ CARTE D’IDENTITÉ ✩


    NOM : Ibañes
    PRENOMS : Ramón Salvador
    AGE : 22 ans
    DATE DE NAISSANCE : 6 Août
    STATUT DU SANG : Mêlé
    ANCIENNE MAISON : N’a pas étudié à Poudlard
    TRAVAIL : Concierge



      ✩ LES DÉTAILS MAGIQUES✩


    BAGUETTE : Sa baguette est relativement normale, elle n’a pas de sculpture, pas de polissage. En fait, si on la posait dans un pièce, quelqu’un pourrait très bien la jeter dehors en pensant qu’il agit d’un morceau de bois. Des détails? Bien, elle fait 20 centimètres, une petite baguette en somme, elle est en bois de palmier et contient un ventricule de dragon. Vous voyez rien de bien excitant, à part peu être sa couleur jaune dut au fait évident qu’elle sort d’un palmier.
    BALAI : Il n’en possède pas, en fait il préfère de loin la moto Freestyle. Même le quidditch l’ennui au plus haut point. Et il ne se donne même pas la peine de s’y rendre, excepté à Poudlard, parce qu’il n’a pas le choix. Et puis, en Espagne le balai n’est pas très populaire.
    ANIMAUX : Un hibou grand duc nommé Esperanza, qui a légèrement tendance à donner les lettre de Ramón au mauvaises personnes.
    PATRONUS : Un taureau noir.
    EPOUVENTARD : Le général Franco0 Bien que mort depuis déjà quelques décennies, le général représente aux yeux de Ramón l’absence de liberté au nom d’idéaux politique pathétiques et sans sens.
    AUTRE : Ramón possède, si vous trouvez le courage de fouiller dans son armoire, la tenue qu‘il portait dans cette compétition de moto Freestyle ou il a failli perdre la vie.

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Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeLun 27 Déc 2010 - 20:27

Ramón fait des claquettes 100510090539543402
Vuelve a tu casa el extranjero

    Nul ne peut arrêter les grains de sable du temps. Ils s’écoulent, années après années, que nous le désirions ou non… Le temps n’a d’autre maitre que lui-même…Cependant les souvenirs restent. Les moments se perpétuent dans les mémoires. L’histoire que vous allez entendre est imparfaite et surtout incomplètes, mais chérissez la car sans vous, elle n’aurait pas d’intérêt à exister…Je vais exhumer pour vous ce trésor passé, venant tout droit D’Espagne et qui pourrait commencer ainsi

    Mi nombre es Ramón, naci en España, tengo 22 años.
    He aqui mi historia.

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Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeLun 27 Déc 2010 - 20:28

Ramón fait des claquettes 100510090627120742
Conduire une moto est sans aucun doute est la sensation la plus intense qu'une machine puisse provoquer.
Paul Peczon

    Le vrombissement des moteurs ramena Ramón à la réalité. La compétition allait commencer, ce n’était plus l’heure de rêvasser mais bien de se mettre dans la peau de la moto. A cet instant précis, chacun des concurrents respiraient moto, vivaient moto, pensaient moto…Ils devenaient purement et simplement une partie bien précise de la moto. Il ne se faisaient plus qu’un, en espérant gagner le pris qui les ferait rentrer dans l’histoire de la moto Freestyle. Madrid était devenu la ville de touts les espoirs en accueillant la compétition des Gladiators Games, ou n’était accepté que les meilleurs de la planète…Et Ramón du haut de ses 22 ans était là, au milieu des plus grands de ce monde, croyant à peine à sa chance. Ou plutôt à sa reconnaissance, celle qu’il avait attendu depuis sa sorti de l’école de sorcellerie.
    Ce soir, c’était le soir de toutes les preuves. Il devait courir pour lui, de toute façon il n’avait rien à prouver au spectateurs, puisqu’il n’existait pas réellement dans les bases de données. Mais il devait également courir pour sa famille, sa famille qui le considérait comme un paria, juste parce qu’il faisait de la moto. Du côté moldus de sa mère, sa famille lui en voulait parce qu’il ne partageait pas la passion familiale pour la corrida, sport barbare au possible à ses yeux, mais noble à ceux de sa famille. Et puis du côté sorcier de son père, on lui reprochait de vouer un culte à un sport moldus sans grand intérêt. Ramón voulait leur prouver qu’il était bon, et que personne n’avait le droit de choisir son destin à sa place. Même si il ne gagnait pas, ce soir il y avait bien plus à gagner qu’un titre qui lui assurerait une place dans l’histoire. Ce soir il concourrait pour le respect de sa famille. Le respect qu’il n’avait jamais eu. Mais c’était fini, ce soir, plus rien ne serait jamais plus pareil, ils allaient regretter les humiliations, la haine, ils allaient voir ce qu’un Ibañez pouvait faire sur un moto.

      -Ramón ca va être à toi mec! Tu passes juste après Mickaël Brandt! Tu te rend compte de la pression que tu vas avoir sur le dos!
      -Tu n’imagines même pas.


    Bien sûr qu’aucun d’entre eux ne savait qui il était réellement. Du côté moldus, oui tout le monde connaissait les Ibañez de la corrida, mais personne ne savait qu’il était un sorcier et que dans ce monde là, les Ibañez étaient particulièrement bon en DCFM. Ramón mit sa baguette dans son sac, durant une centième de seconde, il hésita à s’en servir pour gagner, un simple sort de confusion et les meilleurs se casserait tous la gueule ce soir, pour que lui, Ramón Salvador Ibañez, brille de 1000 feux. Mais il se reprit bien vite, jamais il n’oserait tricher de quelque manière que ce soit. Il était mauvais perdant, mais il préférait largement perdre en s’étant battu à la loyale, comme le répété régulièrement Paolo Ibañez, son père, a vaincre sans péril on triomphe sans gloire. Si il devait gagner (ce qui serait un miracle), ce serait à la sueur de son front et grâce à son talent et pas autrement.
    Il jeta un regard dans la salle, les espagnols étaient beaucoup plus nerveux que els autres. Il fallait els comprendre, vaincre sur leur propre sol était une sacrée forme de fierté. I un espagnol, n’importe lequel parvenait à gagner la manche, ici, à Madrid, la ville ressemblerait à un feu d’artifice de musique et de fiesta. Afin que la cité Madrilène se transforme le temps qu’une nuit en une Barcelone flambante.
    Un homme était cependant au centre des regards, c’était Mickaël Brandt, l’Australien. Depuis 5 ans qu’il faisait les Gladiators Games, il n’avait jamais perdu. Il était en somme l’homme à abattre. Et Ramón passait juste après lui. Le jeune homme se leva et Ramón lui emboita le pas, par peur phobique d’être en retard et que quelqu’un prenne sa place. Dans le couloir qui menait aux engins, au plutôt que chérie de ses messieurs, Mickaël se tourna et lui sorti

      -C’est ta première fois petit?
      -Je suis aussi stressé que si je devais rencontré le Roi d’Espagne…
      -Ne t’inquiètes pas, tu vas voir c’est facile, fais attention au saut 3, il est plus long que ce qu’on croit…


    Ramón hocha la tête en signe de remerciement. C’était également cet esprit qu’il aimait, l’entraide générale quelque soit le moments et les conditions. Il n’avait jamais vu ça dans la corrida. Chacun mettait son traje de luces, et personne ne donnait de conseils à personne. C’est tout naturellement qu’il s’était attendu à une ambiance similaire. Mais non, il avait découvert une ambiance chaleureuse ou chacun aidait l’autre, concurrent ou pas. C’était comme une grosse cour de récré ou chacun était au niveau de l’autre, même les plus grands n’avaient pas pris la grosse tête. Ils côtoyaient les plus petits, et surtout donnaient des conseils au petits nouveaux comme Ramón.

    Ramón attrapa son casque vert et le posa sur sa tête. Puis, il mit ses lunettes, vertes également et démarra sa moto. Du coin de l’œil il aperçut Mickaël prendre de l’élan pour le premier saut. Il se concentra sur les ronronnements de sa propre moto pour se calmer, pour évacuer le stress qui le prenait inlassablement. En vain. D’autant plus, que quelques secondes plus tard il sentit le sol trembler. Ou plutôt le plafond, et il entendit les hurlements d’encouragements de la foule. L’arène de Madrid était en ébullition. Les latinos savait recevoir, contrairement au anglais.
    La tension commençait monter dans les veines du jeune homme, si il ratait ce run, c’était fini pour lui. En effet, à la fin de son run, des juges allaient décider qui de Mickaël ou de lui allait continuer la compétition. Rien ne les ferait changer d’avis. Ramón devait tout simplement faire le run parfait. Sinon sa famille aurait la chance de pouvoir le chambrer en jouant sur le fait qu’il avait perdu dès le premier run. D’un autre côté, en face de lui se trouvait Mickaël Brandt, et malgré la gentillesse de ce dernier, Ramoon était tout a fait conscient qu’il ne lui ferait pas de cadeau, comme tous, et malgré la bonne humeur et l’entraide ils étaient tous là pour gagner.

    Le commentateur se chargea de sortir Ramón de ses pensées. Mickaël avait fini son tour, c’était à lu ide jouer désormais, à lui de faire le show pour le public. Ramón donna un coup d’accélérateur et s’élança dans l’arène. La première chose qui le frappa fut le bruit assourdissant de la foule jumelé à la musique rock qui retentissait dans l’arène. Puis les flashs, des lumières, des lumières partout. Mais surtout la sensation de liberté alors qu’il entamait son salto. Le abs se confondit avec le haut le temps d’un instant, Ramón perdit tout ses repères, puis tout redevint normal, il atterrit sous les hourras de la foules. Il était fier, mais il savait que si il voulait gagner, il devait faire bien plus que ça.
    Le second saut se passa à la perfection. Ainsi que le troisième, le saut qu’il redoutait le plus. Le saut 3, celui dont Mickaël lui-même avait peur, il l’avait passé avec brio, à la perfection. Rien ne pouvait plus lui arriver. C’est certainement ce manque de concentration qui failli lui coûter la vie. Il sauta le quatrième saut, il se décolla de sa moto de façon à donner l’impression qu’il marchait à côté de la moto. Ce fut au moment de remonter dessus que tout s’enchaina. Il rata al moto, lâcha le guidon, et se regarda tomber dans le vide.
    La peur le prit soudainement, il entendait la foule hurler autour de lui, alors qu’il voyait le sol se rapprocher de lui à la vitesse de la lumière. Et lui, comme un idiot, il battait désespérément des bras et des jambes, comme si ça allait ralentir sa chute, de briser le moment présent, d’arrêter le temps, de lui donner le temps de se faire à l’idée qu’il allait mourir. Qu’il ne verrait pas demain. Ou peut être, qu’il nourrissait l’illusion qu’il parviendrait ainsi à s’envoler, et d’atterrir plus loin, en douceur. Autant vous le dire, cette tentative de se prendre pour un oiseau échoua lamentablement. Et la seule chose qu’il parvint à faire fut de ressembler à un pantin désarticulé lancé en l’air par son propriétaire.
    La seule chose à laquelle il pensa alors qu’il heurtait le sol dans un crac assourdissant, fut Julio, son petit frère. Il sentit son souffle se couper. Ensuite, il se rendit compte que la foule s’était tut pour se remettre à crier. Au pris d’intense effort, luttant contre la douleur, il se tourna sur le dis. Assez tôt pour que Ramón puisse voir une masse vert pomme lui tomber dessus. Et ce fut la dernière chose qu’il vit. Sa moto prête à l’écraser. Une nouvelle fois une vague de fouleur, il sentit ses côtes s’enfoncer dans son thorax. Et enfin une libération, le noir qui l’enveloppa. Les cris et l’agitation qui cesse enfin. Le silence et le calme.





      -Il va falloir reprendre votre rejeton en charge!


    Ramón entendit la voix perçante de sa grand-mère tinter à ses oreilles. Il savait que le rejeton c’était lui et qu’elle parlait à sa belle-fille, autant dire sa mère. Aracelli avait toujours accusé Carmen, la mère de Ramón, de l’attirer un peu trop du côté non-sorcier de son caractère. Ramón en déduisit donc que Aracelli, dites Mamita depuis sa plus tendre enfance, accusait Carmen d’être responsable de son état. Et ça faisait 3 jours que ça durait, quand il était éveillé tout le monde souriait, tout le monde s’entendait à merveille et personne ne faisait allusion à l’accident. Mais dès qu’il parvenait à s’endormir, la guerre éclatait dans sa chambre. Qui était fautif? Qui était responsable de cet accident tragique? De ce miracle qui faisait que Ramón n’avait touchait aucun des organes principaux et donc qu’il allait vivre normalement ensuite. Mais qui était responsable? Une fois Ramón avait entendu une énormité lorsque sa grand-mère maternelle avait rejeté la force sur Guillerma et Fredegunda, ses petites sœurs de 15 et 18 ans. Parce qu’elles refusaient que leur frère castagne tout ce qui s’approchait d’un peu trop près d’elle, Ramón s’était tourné vers la moto. En somme, Ramón ne serait pas étonné si on accusait ensuite son hiboux d’être responsable de son accident. Il sombra dans le sommeil une nouvelle fois, sa décision était prise, demain il n’y aurait plus personne dans ses draps. Il serait parti dans un autre pays refaire sa vie. Démarrer un nouvel avenir.

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Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeLun 27 Déc 2010 - 20:37

Ramón fait des claquettes 10051009045888128
Le métier des intellectuels est de chercher la vérité au milieu de l'erreur.
Romain Rolland

    Alors c’était ça Poudlard. Cet immense bâtisse de pierre. C’était ça la fierté du peuple sorcier anglais. Ce vieux château, ce vieux parc…L’école avait toujours été à cet endroit là? Ou avait-elle parfois bougé? Suite à la guerre. Ramón n’était pas vraiment au courant de l’histoire anglaise, car par chance le tyran, et surtout le mage noir n’avait pas eu un grand intérêt pour la péninsule ibérique. C’est pour cette raison qu’il se posait des tas de question. Si Poudlard avait subi de nombreux dommages durant la Grande Guerre, tout ne s’était pas reconstruit du jour au lendemain.
    Quoi qu’il en soit, il était là, en train de regarder cette immense école lorsque, le directeur, ou en tout cas Ramón le supposa, s’avança vers lui, ouvrant l’immense portail. Ramón savait qu’il était chanceux, de rentrer dans une école de sorcellerie étrangère, jamais, au grand jamais un étranger n’avait posé les pieds dans son école espagnole. C’était très simple, si tu n’étais pas espagnol de naissance, et inscrit sur les registres depuis ta naissance, il était inutile de nourrir le rêve d’un jour y rentrer. L’école espagnole aux espagnols en somme.
    Jusqu’à il y a peu, Ramón approuvait totalement cette loi. Mais depuis peu il s’était rendu compte que s’enfermer dans sa propre culture n’était pas bon. Les étrangers étaient totalement marginalisés , et c’était mal. Ramón était désormais un partisan des échanges scolaire internationaux, mais il savait que ce projet n’aboutirait jamais, les sorciers ne voulaient décidément pas échanger leur culture. Ne pas connaitre le voisin était cependant une grave erreur à ses yeux. Mais ça, il s’en rendait compte seulement maintenant. Maintenant qu’il devait faire sa vie ailleurs.
    Pour ainsi dire, Ramón Ibañez était mort et enterré dès le moment ou il était tombé de sa moto. Arrogant et fier quelques minutes avant, il était devenu gentil, doux, loyal et surtout compréhensif. Comment aurait-il put reprendre le cour de son ancienne vie? Il n’y avait plus rien à bâtir en Espagne, il s’en voulait d’avoir abandonné son petit frère derrière lui, ses sœurs, mais il n’en pouvait plus de l’atmosphère qui s’était installé dans sa famille. Il imaginait leur tête lorsque le matin dans leur visite habituelle les Ibañez s’était rendu compte que Ramón avait mis les voiles, sans mots, sans explications…Comme un voleur, ou un traître…Le directeur le sorti de ses pensées.

      -Monsieur Ibañez! Que nous vaut l’honneur? Vous sembliez pressé dans votre lettre de hier!
      -SI! J’ai vu dans la Gazette que vous cherchiez un…Monsieur pour s’occuper de l’école!


    Ramón vit le directeur esquisser un sourire, mais il commençait à s’y habituer. A chaque fois qu’il ouvrait la bouche et parlait en anglais, les gens souriant, les femmes trouvaient cet accent chantant et sexy, quand aux hommes ils trouvaient cet accent ridicule. D’autre le trouvaient simplement drôle., ce qui semblait être le cas du directeur, ou en tout cas c’Est-ce que supposa Ramón. Et puis, il y avait ceux qui étaient littéralement emmerdés par ses fautes répétées d’anglais, et bien sûr plutôt que de lui dire, ils se contentaient de maudire ces’hypogrifes d’espagnols’.

      -Veuillez me suivre dans mon bureau, nous serons plus à l’aise pour parler de vos états de services


    De ses états de services? Ramón n’avait jamais fait le concierge! Lui il se contentait de faire la saison à La Molina, une célèbre station de ski espagnole. Qui avait notamment accueilli les championnats du monde de snowboard, en faisant pas là même une station relativement prisée. L’été si il avait réellement besoin d’argent, il travaillait pour les corridas. Mais normalement, les courses de moto qu’il faisait lui suffisait amplement. Enfin jusqu’à maintenant. Désormais il était obligé de travailler. Et pour tout dire ca ne l’enchantait pas réellement. Mais avait-il le choix?
    Ramón suivit le directeur dans les dédales de couloirs. Se demandant bien comment les gens parvenaient à se retrouver dans ce labyrinthe…C’était impossible, tout semblait si ancien dans cette école, pour dire il y avait même des armures…Dans son école en Espagne, ce n’était pas du tout pareil, il s’agissait d’un endroit caché certes…Mais tout était tellement neuf, lumineux et pratique…Le clou du spectacle de Poudlard était certainement els escaliers magiques. Terriblement pratique et…Désastreux à la fois…Durant le trajet, Ramón sentit le regard amusé du directeur sur lui, et il comprenait pourquoi, il avait la tête d’un enfant qui découvre le monde.

      -Bien, avez-vous déjà été concierge Monsieur Ibañez?
      -En fait…Non!
      -Pourquoi vous présentez à la tête d’un si prestigieuse école si vous n’avez pas les qualifications requises?
      -C’est-à-dire que…


    Ramón sen sentit gêné alors que le directeur le fixait, comble de déshonneur Ramón trahit son état d’esprit en passant sa main dans crête d’iroquois. Il faisait toujours ça lorsqu’il était gêné et qu’il ne savait pas quoi répondre, bien sûr le directeur ne pouvait pas le savoir, mais pour Ramón c’était comme avouer qu’il avait tort. Et puis qu’avait-il cru en venant ici? Il était débutant, espagnols, et il croyait vraiment qu’un adulte responsable allait lui confier une école? Il maudit Navy et Jayson de lui avoir dit de se présenter, qu’il avait toutes ses chances parce qu’il avait du bagou, et que malgré ses difficultés en anglais il savait être convainquant. La blague. Comme les autres, ils s’étaient fichu de lui tout simplement.
    Et puis, il allait devoir évoquer son accident, la souffrance. Il était un miraculé certes. Mais parfois quand il regardait sa vie, ce qu’il devait faire désormais…Il aurait préféré mourir ce jour là. A chaque changements de temps des douleurs horribles se réveillaient sous sa peau basanée, ça lui servait de rappel cuisant. La vie ne tient qu’à un fil. Il avait été dépressif et n’avait pas peur de le dire. Il revenait de très loin, mais il savait tromper son monde avec son sourire charmeur, ses yeux soi disant pétillant de bonheur. Non, il n’avait aucun mal à leur faire croire qu’il était heureux et qu’il acceptait sa condition. Alors qu’en réalité tout son corps, physique comme psychologique, criait un souffrance sans nom.
    Privé de moto, Ramón était privé de son oxygène. Il n’était plus qu’un zombie sans raison de vivre, il respirait mangeait…Il vivait tout en ayant l’impression qu’il n’était plus lui-même, qu’on lui avait arraché une partie du cœur. Mais il y avait également cette peur20 Les potions lui permettaient de rester debout, elles étaient indétectables dans les contrôles moldus. Il aurait très bien put re-rentrer dans les compétitions, en tant que miraculé, mais pour la première fois de sa vie il avait peur de sa moto, de son bébé. Il avait peur d’avoir un autre accident et cette fois-ci il pourrait très ben mourir.
    Le directeur se racla la gorge et Ramón comprit qu’il attendait une réponse. Il ne pouvait plus payer son loyer, i lavait besoin de ce poste.

      -Vous…Je sais faire face au situations de crises, sans me démonter, et je n’ai pas peur des élèves…J’ai besoin d’un emploi ou je pourrais côtoyer des personnes parlant un anglais correct…J’ai de l’énergie à revendre…Bon, ce que je viens de dire ne me défend pas vraiment j’ai en ai conscience mais j’ai besoin de cet emploi…Prenez moi a l’essai! Si vous n’être spas content de moi, je partirais sans faire d’histoire.
      -A l’essai?
      A l’essai


    Le directeur le regarda de l’autre côté du bureau, Ramón était mal à l’aise, il avait l’impression que le directeur savait déjà tout sur lui, mais qu’il le laissait volontairement patauger dans la semoule, histoire de le juger. Il lui sourit y mettant tout la convictions qu’il pouvait, il n’avait pas le droit d’échouer maintenant, il allait être la risée de la famille.




    Ramón poussa la porte du magasin, faisant tinter la sonnette qui se trouvait dessus. Il n’y avait personne dans la boutique, personne pour l’accueillir , pas comme la dernière fois ou Navy et Jayson étaient là. Il posa son regard sur les livres présents, il y en avait des tas, tous plus attirant les uns que les autres, et puis cette odeur de vieux parchemins! Les Manning n’avaient pas la renommé de Fleury&Bott, mais leur petit magasin leur convenait parfaitement. Ils n’en voulaient pas plus, et puis le fait d’avoir une petite boutique leur permettait de rencontrer beaucoup plus de monde par le plus simple des hasards. Comme ils avaient rencontré Ramón, il était entré dans le magasin, avec la gazette à la main, car si il avait un anglais à peu près correct il ne savait pas le lire. Et c’est Navy qui lui avait trouvé l’annonce de Poudlard. D’ailleurs une tête blonde venait de surgir de l’arrière boutique, Ramón sourit.

      -Je commence lundi!

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Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeSam 29 Jan 2011 - 19:48

Ramón fait des claquettes 2heh7ur
On est tous coupables, ne prends rien de plus que ta part de culpabilité.
Claire de Lamirande

    Keiko avait été assassiné, Tristan Cohen avait été dévoré par une bête sauvage, quand à Travis…Il ne parvenait pas à se souvenir de la manière dont il avait péri, mais il savait que ça avait dut être horrible. 3élèves. Mort. Alors que l’un des premier poste de Ramón était de s’assurer de la sécurité des élèves. De faire en sorte que tout se passe bien. Dans sa tête il y avait une hiérarchie bien précise. Le directeur prenait les grandes décisions et dirigeait l’école. Les professeurs enseignaient et aidaient leur apprenti. Les étudiants faisaient des conneries, et éventuellement prenaient un peu de temps pour étudier. Et lui, le concierge, devait veiller à ce que tout se passe bien, faire respecter la loi. Et il venait de perdre 3 élèves, il se sentait coupable, coupable de les avoir laissé mourir sans rien faire. Sans s’en rendre compte.
    La première morte, Keiko, l’avait bouleversé, il avait vu la jeune fille plus tôt dans la journée et quelques heures plus tard, on lui annonçait qu’elle était morte. Ramón avait eu l’impression qu’un glacier tout entier lui tombait dans l’estomac, mais en même temps une sueur plus chaude était apparu sur tout son corps. Il appréciait Keiko, elle était pleine de vie. Et puis, il avait vu l’école s’effondrer Tristan était mort. Et ce matin, il apprenait de la bouche du directeur que Travis était mort. Il se souvenait seulement du début. Il entendait encore le directeur lui dire: Travis Cohen est décédé Monsieur Ibañez …Le reste de la phrase s’était perdu dans le vide. Ramón n’avait même pas attendu la fin de la phrase, il n’avait pas attendu de connaitre la raison de la mort de Travis. La seule chose qu’il voyait, c’était qu’il devait partir.
    Et c’est comme ça qu’il s’était retrouvé dans son office. Sortant valises, affaires et alcools. A cet instant précis, il était totalement saoul, l’alcool inhibant chacune de ses pensées. Il entassait toutes ses affaires dans une valise. Passant des larmes de rage au rire hystérique. Passant de l’anglais à l’espagnol. Il n’avait aucunes raisons de rester. Il faisait froid en Angleterre, contrairement à son Espagne. Les anglais n’avaient même pas une bonne notion de la gastronomie et de la musique. Même lorsqu’ils tentaient d’imiter els voisons c’était une catastrophe sans nom. Et puis, surtout, els anglais ne l’avaient jamais totalement accepté. Les élèves pour la plupart passaient leur temps à le ridiculiser et à ne pas accepter son autorité à cause de son accent espagnol. Ils étaient rares, ceux qui l’avaient réellement en sympathie, qui venaient lui parler pour le plaisir. En fait les amis de Ramón étaient rares.
    Peut-être avait-il une raison de rester en fait. Il ne gagnait pas des millions, mais ici, il avait découvert quelque chose de bien plus important que l’argent ou la connaissance. Ici, en Angleterre, sur le chemin de traverse il avait découvert l’amour. Il avait compris qu’une vie ne pouvait être véritablement rempli sans amour. Navy Sydney Stevenson, jolie blonde de 21 ans était rapidement devenu sa raison de vivre. Dès le premier jour ou il l’avait vu en fait. Mais elle ne voudrait jamais de lui, d’un minable comme lui, d’un minable qui avait laissé 3 élèves mourir. Elle lui rirait au nez. Lui dirait qu’il devait retourner chez les latinos et le plus rapidement possible.

    Il se laissa tomber sur son lit, portant un regard critique sur son office, une chambre ou rentrait largement un lit 2 places, ainsi qu’une énorme armoire. Ouverte, et surtout vide. Tout son office était comme ça, en le regardant Ramón eut l’impression que l’office semblait mort, comme si personne n’avait jamais vécu là. Exit les photos de famille, exit les immenses pans de murs consacrés à sa famille. Finit le pan de mur consacré à la moto. Ou encore celui de ses amis. L’office était vide, sans âme. Tout était dans la valise. Prêt à prendre le large. Son regard se posa sur l’armoire, il ne restait que des cintres, les portes, les tiroirs étaient ouverts sur du vide. Durant quelques secondes, Ramón lui demanda qui allait lui succéder, qui allait prendre possession des lieux. Quelqu’un d’aussi festif que lui? Qui comme lui allait remplir l’office de rire et de convivialité. Ou bien une personne qui allait faire de cet environnement quelque chose de triste. Son successeur allait-il connaitre les élèves par leur nom comme lui, ou au contraire se contenter de punir à tout va? Allait-il comme lui être un échappatoire pour ceux qui souhaitaient se confier, ou même se changer les idées sans forcément avoir à fournir une explication. A qui allait-il tout simplement laissé ses petites protégés? Il avait l’impression de les trahir en partant, de ne plus être à la hauteur de leurs attentes. De plus être ce Ramón plein de courage, de croyance et de vie que tout le monde attendait. Mais jamais plus il n’oserai les regarder dans les yeux, leurs yeux pleins de larmes qui allaient chercher des réponses à leur questions, à leur angoisse même. Ils auraient peut d’être le prochain. Et lui devrait mentir, leur dire que tout allait très bien se passer, que rien ne leur arriverait. Il dirait ca pour les rassurer, en même temps qu’il se rassurerait lui-même. Et il les regardait partir, en se demandant si il n’était pas le prochain. Si en tournant ce couloir, cet élève n’allait pas mourir. Comment en être sûr? Redoubler de vigilance? Il voyait mal comment.
    Il était encore plongé dans ses pensées lorsqu’il entendit toquer à la porte. Se levant avec difficulté, ouvrant la porte sur un directeur qui dévisageait son concierge totalement saoul. Ramón ouvrit la bouche en signe de surprise, il ne s’attendait pas à le voir si vite.

      -Je ferais comme si vous m’aviez conviviale ment invité à entrer Ramón!


    Ramón s’effaça de devant la porte, et alla s’assoir sur un siège à son futur ancien bureau. Il regarda le directeur s’assoir sur la chaise qui lui faisait face, et regarder autour de lui. Ramón vit que son regard venait de se poser sur l’entrée de la chambre ouverte, et bien entendu sur la valise que Ramón n’avait pas eu le temps de boucler.. Il aperçut ensuite le directeur esquisser un sourire discret, sourire que Ramón prit comme une approbation à son départ.

      -Vous partez en voyage Ramón, habituellement je préfère que mes employés m’en informent avant de faire leur valises. Et bien que vous soyez très sympathique, vous ne dérogez pas à la règle.
      -Je vous épargne la tâche de me convoquer dans votre bureau afin de me congédier monsieur


    Ramón s’attendait à ce que le directeur hoche la tête, ou fasse un signe d’approbation, et comme d’habitude il ne quitte pas son flegme anglais. Mais il ne s’attendit pas à ce qu’il perde son calme et se mette à rire comme une enfant. C’était étrange, cet homme qui était toujours si sérieux, qui croulait sous les responsabilités, était en train de…rire comme un enfant. De toute ses dents, obligé de se tenir le ventre…Oui, Ramón était en train de découvrir une autre facette du directeur, une facette qu’il avait même jamais soupçonné.

      |Veuillez m’excusez mais je vous ai connu plus optimiste, sobre et joyeux. Qu’Est-ce qui vous fait croire que je tiens tant à vous licencier?
      -Je suis sensé m’occuper de cette école, et il y a déjà 3 morts. Ces jeunes sont morts à cause de mon incompétence, et de mon orgueil qui m’a poussé à postuler ici.
      -Vous semblez sincère.
      -Je le suis
      -Vous n’êtes pas virer, si vous souhaitez rester vous êtes encore le bienvenue ici. Si vous vouez partir et bien bon vent…Vous ne les avez pas tué, pour le moment je refuse votre démission…Revenez me voir dans une semaines avec votre décision définitive.

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Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeSam 29 Jan 2011 - 19:56

Ramón fait des claquettes O9l7ki

      - DEAN TU ARRETES DE COURIR DANS LES COULOIRS SI TU NE VEUX PAS FINIR TA SCOLARITE EN COLLE TOUTS LES SOIRS!


    Le jeune garçon reprit une cadence plus approprié dans un école, mais dès que Ramón ne l’eut plus dans son champ de vision, il entendit des pas précipité qui lui montrait clairement que Dean était de nouveau en train de courir comme un idiot. Ramón soupira et retourna dans son office. Finalement, malgré tout ce qu’il avait put penser, malgré toutes les épreuves il était resté, il était resté dans cette école. Pas pour lui, pas pour le directeur non plus. Bien sûr qu’il aimait bien le directeur avec sa figure paternaliste. Mais il était resté pour les élèves, pour eux. Pour qu’ils puissent continuer à avoir une figure sur laquelle ils puissent se défouler dans ces temps troubles, et puis à tout dire, depuis le début de l’année il n’y avait pas eu d’incident majeur, bon bien sûr des élèves réfractaires, quelques premières années brutalisé…Mais il semblait que le pire était derrière eux…Malgré les enquêtes qui restaient ouvertes, et les questions sans réponse. En tout cas, il y avait une question qui avait une réponse désormais. Ramón baissa le regard sur sa main gauche, depuis le mois de juillet il était le mari officiel de Navy. Il était marié, elle l’aimait, tout comme lui. Et comble de joie, le frère de Navy, Jayson n’avait même pas pris la peine de lui refaire le portrait…Oui tout était rentré dans l’ordre.

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Maximilien E. Middle
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Absence : Complètement indisponible pour l'instant. Merci l'université!
MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 14:46

    AHA, il est enfin venu le temps où je peux validé ce cher Ramon,

    Pour te faire plaisir, je vais te faiire une longue validation dans les règles avec tout notre blabla habituel Razz! Alors premièrement, je souhaite bienvenue à ce brave Ramon sur le forum, hein! Et je tiens à te dire que j'adore ta présentation mais que je regrette qu'il soit marié! J'aurais bien voulu trouvé des liens avec une autre de mes idées de persos (hésitant avec arsenyk) enfin bref! Jolie fiche!!! J'adore ton histoire!

    ALORS VALIDE!! N'est ce pas! Je t'ai mis ton rang, je vais te mettre ton groupe et j'ai déjà réservé ton poste sur la liste disponible tes postes à poudlard! Je déplace ta présentation et voilà seulement faut que tu me dises si tu veux des appartements à Poudlard ou si Ramon habite avec sa copine auquel cas, il faut aller faire une demande de logement dans la section approprié! N'oublies pas de réserver ton avatar aussi! Sinon il te faut créer ton hiboux, ta fiche de lien et de relation!
    BON JEU

    validé

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Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 14:54

Je suis tellement émue! Tu ne sais pas à quel point!

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Julia I.Brown
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 15:06

(re) Bienvenu cher concierge.....

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E. Luna Hayden
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 15:19

AHA BIENVENUE Ramon que Luna va rendre fou <3 Razz

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Ramón S.Ibañes
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 15:21

Tu as intérêt à bien tetenir^^

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E. Luna Hayden
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 15:24

JAMAIIIIS <3 Razz

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Loreana N. Wilde
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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitimeDim 30 Jan 2011 - 18:03

Héhé. C'est pas pour dire, mais Ramón va en baver, avec Peevy qui arrive dans pas longtemps Razz

M'enfin, bienvenue quand même Razz

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MessageSujet: Re: Ramón fait des claquettes Ramón fait des claquettes Icon_minitime

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